Ou acheter du viagra

Après relecture du chapitre, je pense à deux personnes qui auraient pu crever les pneus : Le revendeur de coke du musicien par vengeance pour la perte d'argent ou Edgar par vengeance de la perte de Sarah.

Alors sa a un super potentiel sa ressemble a genre. L'héroïne transformer en slime sexuelle. Ou un truc du genre hâte de voir la suite

bonjour ce qui serait bien c est un chapitre sur la femme de joseph et ses fille passer du luxe aux trotoirs ou les films x pour elles avant de finir dans un bordel a tijuna

Excellent, Bianca se fait punir plus que je ne l'espérais. C'est vraiment la fin ? Ou juste la fin du sujet 1.
Apparemment il y a un sujet 2 en vue, pour le prochain chapitre ?
Super histoire.

Bonjour,
Bon récit, que je découvre, j'espère une suite. En effet il y a un petit manque dans ce dernier chapitre. Une petite vengeance du genre bloquer les comptes en banque ou alors qu'elles demandent l'autorisation du maitre pour dépenser le moindre $. Il y a une foule d'hypothèses à explorer quand on en rendu un contrôle total des esprits, de ses esclaves. Je rejoins ce que d'autres ont déjà dit il faut une suite.

Ce livre, car c’est un livre, exerce sur le lecteur une sorte de fascination, comparable à celle exercée par Kââ, qui nous entraîne dans un monde où la réalité est alternative, la volonté incertaine et où, comme disait Rimbaud, je est un autre.
Fascination qui découle de la longueur, du temps exigé pour la lecture et donc de l’immersion prolongée du lecteur dans l’intimité des différents protagonistes et particulièrement du personnage principal. Tout plongeur sait que plus la plongée est profonde, plus le temps de décompression est long.
Fascination engendrée par le foisonnement de personnages qui, avec leurs propres logiques, tout en étant indépendantes les unes des autres un peu comme les pièces d’un jeu d’échec, concourent volontairement ou pas, au même but, utiliser l’héroïne pour satisfaire ses pulsions, quitte à briser totalement sa personnalité.
Fascination exercée par la nature même de l’héroïne, qui oscille en permanence entre Justine et Cosette, sorte de lutine sexy qui semble surgir du livre du divin Marquis pour se plonger avec délice dans celui de Victor Hugo. Le lecteur s’en trouve ainsi emporté et plongé alternativement dans des phases successives d’excitation et de compassion.
Fascination enfin, par la l’abîme des questions posées par ce livre. Qui sommes-nous vraiment? Vaut-il mieux connaître la vérité ou se contenter de la traversée de apparences? Est-il possible d’ignorer le regard des autres? Et de quels autres? Est-on vraiment soi dans ses pulsions exacerbées ou dans le calme de la réflexion? Entre autres…
L’autrice dit qu’elle ne sait pas écrire des histoires d’amour. Elle fait beaucoup mieux: elle parle d’Amour.
Le seul regret est que la traduction automatique ne soit pas à la hauteur de l’écrit, malgré quelques formules involontairement cocasses.

Petite vengeance, mais vengeance quand même. Qui pourrait être ce reproduire à chaque fois que Daryl dit ou pense du mal de Caleb, ce serait rigollot. Encore un super chapitre, il ne faut pas que Caleb soit traumatisé par ce qu'il a fait. Après tout c'est de la légitime défense. Si il doit rejoindre le FBI, cela risque de ce reproduire.
Cinq étoile (obligé)